L'École des Maris Le texte de la Scène 1 Acte 3 de la pièce de Molière : L’école des maris
Oui, le trépas cent fois me semble moins à craindre Que cet hymen fatal où l'on veut me contraindre; Et tout ce que je fais pour en fuir les rigueurs Doit trouver quelque grâce auprès de mes censeurs. Le temps presse, il fait nuit: allons, sans crainte aucune, À la foi d'un amant commettre ma fortune.
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