Les Précieuses Ridicules Le texte de la scène 12 de la pièce de Molière : Les Précieuses ridicules
LUCILLE: Vous nous avez obligés, sans doute. MASCARILLE: Ce n'est ici qu'un bal à la hâte; mais l'un de ces jours nous vous en donnerons un dans les formes. Les violons sont-ils venus? ALMANZOR: Oui, Monsieur; ils sont ici. CATHOS: Allons donc, mes chères, prenez place. MASCARILLE: dansant lui seul comme par prélude. La, la, la, la, la, la, la, la. MAGDELON: Il a tout à fait la taille élégante. CATHOS: Et a la mine de danser proprement. MASCARILLE: ayant pris Magdelon . Ma franchise va danser la courante aussi bien que mes pieds. En cadence, violons, en cadence. Oh! quels ignorants! Il n'y a pas moyen de danser avec eux. Le diable vous emporte! ne sauriez-vous jouer en mesure? La, la, la, la, la, la, la, la. Ferme, ô violons de village. JODELET: dansant ensuite. Holà! ne pressez pas si fort la cadence: je ne fais que sortir de maladie.
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